Le week-end au bout…

De l’enfer ? de mes forces ?

Vendredi soir, nous voila, Futur et moi confortablement installé dans le TGV à destination de Paris. Tout est sous contrôle… enfin c’est ce qu’on croit !

Arrivée à la gare nous prenons un 1er métro pour nous rendre chez Mlle S. qui nous héberge pour le we…

A 23h00, mon tel sonne… « euh… ça va pas très fort, j’ai un peu vomis partout dans mon salon… et il faut que je passe la serpillière… » -moi : «euhhhh…. je te rappelle »
Du coup, à presque minuit, un we de salon de l’auto, nous voilà en quête d’un hôtel…
Après un mauvais départ avec les incapables du 118 218, nous sortons des méandres du métro à Opéra et là, un miracle nous trouvons un hôtel top et en plus vu l’heure tardive nous ne payons que 160€ avec petit dej au lieu de 220€. (le budget shopping est mort – une minute de silence svp.)

Bon, y’a pas de chambre pour le samedi soir, mais là aussi dans notre « malchance » nous avons du bol… nous sommes invités à rester chez la nouvelle de papa à Neuilly. Y’a pire.

La journée du samedi est inutile sauf pour le café bu chez la sœur de Futur… zéro shopping (même pas la faute au budget), beaucoup trop de marche.

La soirée s’annonce mieux… et elle est quasiment parfaite (quasiment parce qu’au resto nous avons eu le choix entre 35° ou 12°…- pas facile le choix) jusqu’à 2h du mat.

Nous sortons d’une pure soirée avec la naïve intention de prendre un taxi.
Je demande un n° et je tel, et je tel, et je tel et j’entends bip bip bip…..

Alors nous partons de la rue Réaumur jusqu’au Louvre puis du Louvre à la Concorde et de la Concorde à l’Arche de Triomphe, durant tout ce trajet nous avons tout essayer pour attraper un taxi : topless, sous les roues, menaçant… rien n’y a fait… nous avons marchés des kilomètres et mis 1h30 pour trouver un taxi…

J’ai des courbatures.
Vive Paris.